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Vous avez passé des mois intenses de formation et vous arrivez maintenant à la fin de votre cursus… Place aux examens !

Après les épreuves écrites, il vous reste une épreuve à passer, mais pas des moindres : la soutenance orale ! Pas d’inquiétude, nous vous donnons quelques conseils pour réussir avec brio votre examen.

1. Connaitre son sujet

Cela peut paraitre évident, mais il est important de le rappeler : vous devez connaitre votre sujet sur le bout des doigts.

Si vous savez de quoi vous parlez, vous serez beaucoup plus à l’aise et cela se ressentira dans votre présentation orale : aisance, crédibilité, assurance gestion du stress, élocution, etc.

2. Ne pas prendre trop de notes

L’épreuve orale est un discours parlé… et non pas lu ! Vous ne devez pas passer votre soutenance les yeux rivés sur votre feuille, à lire vos notes. Cela vous pénalisera très fortement et vous n’arriverez pas à accrocher l’attention du jury.

Prenez des notes oui, mais brèves. Listez les grands points à aborder et les passages à ne pas omettre pour vous repérer tout au long de votre soutenance. L’idée est de pouvoir y jeter un coup d’œil de temps en temps pour vous rassurer… mais vous ne devez pas en dépendre !

3. S’appuyer sur une présentation PPT

L’alternative à la prise de notes est la présentation PowerPoint. Beaucoup de candidats utilisent ce support lors de leur soutenance pour appuyer leurs propos… et c’est une bonne chose.

Sur votre PowerPoint, ne rédigez pas trop de texte car cela jouera en votre défaveur. Insérez plutôt votre plan, des illustrations ainsi que les notions-clefs de votre présentation.

Attention : Le PPT est un support visuel pour votre auditoire, vous ne devez pas le lire !

4. S’entrainer devant un proche  

Une fois que vous aurez défini votre discours, il est temps de vous lancer. Demandez à l’un de vos proches de jouer au jury pour que vous puissiez vous entrainer de réelles conditions… Et qu’il n’hésite pas à vous poser des questions !

Vous n’avez personne dans votre entourage pour vous aider ? Entrainez-vous devant votre miroir, en parlant à voix haute.

5. Gérer son temps

La principale contrainte de l’épreuve orale est le temps. Vous devez être en mesure de synthétiser votre présentation dans un laps de temps précis.

Structurez vos parties et estimez le temps accordé à chacune d’entre elles pour avoir une vision globale. Puis, chronométrez-vous ! C’est le meilleur moyen pour vous préparer dans de réelles conditions d’examen.

6. Anticiper les questions

A la fin de votre présentation, le jury vous posera très probablement des questions : des points à approfondir, des notions à définir… Mais ces questions peuvent également faire l’objet d’un regard critique sur votre travail : les écueils à éviter, la méthodologie de travail adoptée, etc.

Préparez-vous à toutes les questions qui pourraient vous être posées afin de ne pas être surpris(e) le Jour J.

Finalement, quel que soit l’objet de votre oral : soutenance, exposé, dossier professionnel… Suivez ces 6 conseils pour assurer le jour J !

Dernier conseil : gérez votre stress, il ne doit pas prendre le dessus sur vous. Canalisez-le pour en faire une force positive.

Des élèves du monde entier passent actuellement des examens du Programme d’éducation intermédiaire, du Programme du diplôme et du Programme à orientation professionnelle. Les examens peuvent provoquer un mélange d’excitation et de stress. Voilà pourquoi nous vous offrons six conseils pour vous aider à rester calme pendant cette période.

1. La préparation est la clé de la réussite.

Il est essentiel de préparer vos affaires la veille pour le lendemain. Vous éviterez ainsi de stresser ou de perdre du temps le matin des examens. Veillez à choisir vos vêtements, à préparer votre sac avec tout votre matériel, notamment des crayons de papier de couleur foncée pour les questions à choix multiple et des stylos à encre bleu foncé ou noire pour les réponses rédigées.

2. La ponctualité est de mise.

Il est impossible de prévoir ce qu’il peut se passer en chemin, donc assurez-vous de partir bien en avance. Si vous avez du temps à tuer avant l’examen, profitez-en pour vous rafraîchir la mémoire sur des données clés ou pour respirer profondément pour calmer vos nerfs.

3. N’oubliez pas votre nom.

Les pages de couverture de l’IB sont préimprimées et comprennent toujours des renseignements sur les élèves, tels que leur nom ou leur code de session. Quand on vous remet l’épreuve, commencez toujours par vérifier qu’elle correspond bien à l’épreuve que vous devez passer et que les renseignements sont exacts. Prévenez le surveillant s’il y a le moindre problème. Veillez à écrire votre nom et votre code sur l’ensemble des travaux que vous soumettrez à l’évaluation, tels que les livrets de réponses.

4. Lisez les questions attentivement.

Lorsque le surveillant vous donne le feu vert, commencez par lire toutes les questions. Ne vous précipitez surtout pas, même si vous vous rendez compte que vous connaissez la plupart des réponses en lisant les questions. Veillez à lire chaque question lentement et attentivement de manière à être en mesure d’y répondre du mieux possible.

5. Tout est une histoire de stratégie, mon ami(e).

Une fois que vous avez lu attentivement les questions, commencez par répondre à celles qui vous semblent les plus faciles. Cela stimulera votre confiance en vous et contribuera à réduire votre niveau de stress. Attaquez-vous ensuite aux questions que vous maîtrisez le moins. Si vous êtes coincé(e) sur une question, passez à la suivante. Si votre cerveau fait un blocage, respirez profondément et essayez d’écrire des mots clés ou quelques notes et revenez sur la question plus tard.

6. Restez à l’écart des écrans.

L’interdiction des appareils électroniques est l’une des règles les plus répandues des examens. Le fait d’être trouvé en possession d’un tel appareil peut avoir des répercussions graves. Assurez-vous d’avoir laissé votre téléphone intelligent, votre tablette ou tout autre appareil électronique à l’extérieur de la salle d’examen. Cette règle s’applique aux montres intelligentes.

Vous voilà prêt(e) Souvenez-vous de respirer profondément, de penser de manière positive et de croire en vous. Les examens font partie des épreuves de la vie. Croire en vos compétences et en vos aptitudes est la clé de la réussite.

La santé mentale des élèves en action est une série de quatre leçons qui appuient l’acquisition chez les élèves des connaissances de base en matière de santé mentale et le développement des compétences favorisant la recherche d’aide. Les leçons sont conçues pour les élèves du secondaire, et portent sur leur compréhension de la santé mentale et de la maladie mentale, les symptômes des troubles de santé mentale, et comment obtenir de l’aide et où la trouver lorsqu’ils en ont besoin.

Chaque leçon de la série inclura : 

La mise en œuvre des leçons LIT SM : La santé mentale des élèves en action devrait se faire avec l’appui d’une équipe composée de : membres du personnel enseignant; membres du personnel de soutien en santé mentale; et la direction de l’école. SMS-ON a créé une liste de contrôle pour la préparation à l’école, des suggestions pour l’enseignement des leçons, et du matériel supplémentaire pour aider les directions et directions adjointes d’écoles à appuyer la mise en œuvre des plans de leçon.

Le BTS : 2 ans pour devenir opticien

Le BTS d’opticien lunetier est le précieux sésame pour devenir opticien. Il dure 2 ans et peut s’effectuer en formation initiale (école seulement) ou en alternance (école + stages réguliers chez un professionnel de l’optique.).

L’accès au BTS se fait sur dossier et entretien de motivation, suite à l’obtention du baccalauréat. Il est d’ailleurs préférable d’avoir un Bac général S ou ES ou un Bac technologique STL (sciences et techniques de laboratoire), ST2D (sciences et techniques de l’industrie et du développement durable) ou STMG (sciences et technologies du management de la gestion).

Pour aller plus loin : la licence pro

En cas de très bon dossier ou de mention au BTS, le jeune diplômé peut choisir de ne pas devenir opticien tout de suite mais de faire une poursuite d’études avec une licence pro. Il en existe plusieurs aujourd’hui. On trouve par exemple :

C'est une journée animée pour l’un des nombreux secteurs du marché de Yaoundé, la capitale du Cameroun.

Des marchands de rue vendent leurs produits sur de petits étals ou chariots : bananes, mangues, ananas, riz, manioc, plantain, légumes verts, entre autres. Parmi les clients, il y a des femmes en robe à motifs colorés venues acheter des produits pour préparer leurs plats préférés aux membres de la famille : ragoût de légumes, ragoût de nid d'abeille aux cacahuètes, aux épinards et aux légumes verts amers, en-cas subtilement sucrés à base de plantain et de pois chiches, par exemple. Les amis se retrouvent eux aussi au marché pour se raconter les dernières nouvelles.

Cette scène, autrefois anodine, est aujourd'hui synonyme de danger pour de nombreux Camerounais. La menace de la COVID-19 a changé la vie de ce lieu et du pays tout entier.

"Les marchés de plein air sont au carrefour de l'économie et de la culture camerounaises", expique Allegra Baiocchi, la Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Cameroun. En effet, de par la diversité de sa nature et de sa population, le Cameroun est connu pour être en quelque sorte une Afrique en miniature. Cette diversité se retrouve dans les produits vendus sur les marchés et chez les personnes qui s’y croisent. "La diversité d'ici, la vie d’ici, c’est en partie ce qui rend les marchés si dynamiques. Mais c'est aussi ce qui les rend si vulnérables".

Des endroits comme celui-ci, où les gens sont physiquement très proches les uns des autres, sont des lieux potentiellement sensibles en termes de risque de propagation de la maladie. Le 6 mars, les autorités ont annoncé le premier cas de contamination à la COVID-19 dans le pays. Depuis, quelque 6.700 personnes ont été infectées dans les dix régions du pays et 200 personnes en sont décédées.

L’ONU au Cameroun a travaillé en étroite collaboration avec le gouvernement pour juguler la transmission virale, en accentuant les efforts en direction des femmes. L’ONU a collaboré avec tout le monde, des chefs religieux âgés aux jeunes vivant avec le VIH, en passant par les vendeurs sur les marchés de plein air. Certains de ces groupes de population, en effet, sont le plus susceptibles de contracter, de transmettre, ou de prévenir le coronavirus.

"La COVID-19 peut causer des problèmes respiratoires et, dans les pires scénarios, entraîner la mort", reconnaît Bernadette, vendeuse sur le marché. Bernadette communique autour d’elle ce qu’elle a appris lors des sessions d’information organisées par ONU Femmes à l’attention de 200 marchands de rue de la capitale. ONU Femmes a en outre fourni à ces derniers des trousses d'hygiène comprenant du savon et des masques, ainsi que des parapluies pour les protéger d’un soleil de plomb. Lors de ces sessions, le médecin en chef de l’ONU au Cameroun a expliqué ce qu’était le coronavirus et répondu à toutes les questions qui lui ont été posées sur la pandémie.

"La COVID-19 fait maintenant partie de notre réalité", déplore Alex, vendeur de légumes sur le marché depuis presque quatre ans. "J'essaie d’éviter d’être contaminé en appliquant les gestes barrières. Je porte un masque, et quand je rentre à la maison, avant de dire bonjour à ma femme et à mes deux enfants, je me change et je prends une douche. L’ONU nous a aidés à jouer notre rôle pour aider à endiguer la propagation du virus".

F : Pourriez-vous nous décrire votre parcours depuis votre bac ? Quelle formation avez-vous suivie pour devenir sage-femme ?

Depuis le bac, j’ai fait 2 années de médecine, j’ai été prise en dentaire. Je voulais être gynécologue ou sage-femme. Malheureusement la PACES n’était pas encore établie à l’époque, je ne pouvais donc m’orienter directement vers les études de sage-femme. Du coup, j’ai fait une prépa pour intégrer l’école de sage-femme.

F : Bien différent de maintenant !

Oui, j’aurai gagné une ou deux années. La première année je me suis demandée si je ne devais pas d’emblée prendre sage-femme parce que j’avais eu l’occasion de rencontrer des gynécologues : je me rendais compte au fur et à mesure du temps, parce que j’avais déjà travaillé avec une sage-femme en clinique, que l’aspect relationnel était plus important dans le métier de sage-femme que dans le métier de gynécologue. Je suis donc plutôt contente de ne pas avoir suivi cette voie, d’autant plus qu’on était deux à vouloir faire ça. Cette personne n’a pas eu gynéco non plus, et elle m’envie aujourd’hui. Finalement la vie fait bien les choses.

F : Les études de sage-femme duraient-elles 5 ans ?

Non elles ne duraient pas 5 ans. Une fois le concours en poche, on intégrait l’école pour 4 ans de formation. Avec le cursus d’aujourd’hui, je pense que j’aurai gagné deux ans, dès la première année j’aurai pu choisir sage-femme.

V : Votre première année en médecine vous a-t-elle été bénéfique pour votre formation ?

Personnellement je n’y ai vu aucun avantage, si ce n’est peut-être avoir le concours de sage-femme plus facilement. Ca ne m’a pas apporté grand chose sur le plan professionnel en tout cas.

F : Avez-vous eu du mal à trouver un emploi à la fin de vos études ?

Pas du tout. A cette époque là, on avait vraiment pas de difficulté à avoir un emploi. Ma vie personnelle a fait que je suis resté là où j’ai fait mes études.

F : Pourquoi avoir choisi le métier de sage-femme ?

Je souhaitais travailler dans le domaine de la santé, j’en étais intimement convaincu ! Je m’étais aperçu que de m’occuper de personnes malades ce n’était pas vraiment fait pour moi. Après le stage de quatrième au collège, je me suis dit : « ça sera dans ce milieu là et il n’y aura pas autre chose ! » Cette expérience m’a conforté dans ce choix.

F : Comment devient-on sage-femme aujourd’hui ?

Une voire deux années de bachotage en PACES, puis intégrer l’école de sage-femme dans un cursus de quatre ans d’étude jusqu’à l’obtention du diplôme de sage-femme.

F : Jugez-vous la formation bien adaptée à la profession de sage-femme ?

Plein de choses à faire dans la formation et à améliorer. Cependant, étant moi-même sage-femme enseignante, je ne peux pas vous en dire plus, ma réponse serait biaisée.

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